Julien Tchernia Fils De Pierre Tchernia – Le PDG d’ekWateur lève cette semaine 1,2 million d’euros de fonds participatifs pour financer l’expansion des services de l’entreprise et attirer de nouveaux clients alors que le monde peine à se remettre de la propagation du coronavirus.
Face au fait que de nombreuses entreprises ont fermé leurs portes à cause du coronavirus et consomment ainsi moins d’électricité, Julien Tchernia, co-fondateur du fournisseur d’énergie verte ekWateur, a trouvé une source de revenus alternative.
L’Aixois de 49 ans a annoncé une collecte de fonds participative pour… Plus concrètement, 720 particuliers ont apporté 1,2 million d’euros. L’argent des frais collectés sur la plateforme Sowefund sera utilisé pour le marketing et le développement de nouveaux services.
Le fondateur déclare : “Ce ne sont pas les besoins financiers qui nous poussent à diluer, c’est notre modèle collaboratif”, après avoir levé 10 millions d’euros auprès de multiples investisseurs l’année précédente. Environ cinq pour cent des actions de la société appartiennent désormais à un million de clients.
Cet ingénieur a lancé ekWateur en 2016 ; sa mère était une militante syndicale et féministe et un ancien cadre de BP, tandis que son père était un normalien spécialisé dans l’archéologie sous-marine et amènerait le rejeton “dans son ‘bureau’ par vingt mètres de profondeur, sur une série de fouilles.
Des investisseurs tels car Aster Capital et Mantu ont manifesté leur intérêt pour la jeune usine malgré son petit portefeuille de 227 mille utilisateurs (par rapport aux 40 millions d’utilisateurs que compte l’Hexagone). Cependant, il a récemment fait un bond significatif dans le top cinq des fournisseurs d’énergie, rejoignant les rangs d’EDF, Engie, Total et Eni.
Nous prévoyons que notre chiffre d’affaires atteindra 160 millions d’euros en 2020, contre 60 millions l’année précédente, ce qui représente une croissance plus rapide que nos petits concurrents. Cependant, nous sommes toujours David face à Goliath, comme le dit l’arrière-petit-neveu de Pierre Tchernia.
Le père de deux filles affirme que la stratégie client, plutôt que l’argument “gaz & électricité renouvelables”, est responsable du succès de l’entreprise. Ce PDG, qui se dit “drogué aux jeux vidéo”, estime que “nous ne sommes pas des énergéticiens, mais plutôt des petits commerçants qui privilégient la transparence et la proximité”.
Cependant, ce déclin rapide pourrait également être attribué à son expérience dans l’industrie de l’énergie acquise alors qu’il travaillait pour une autre entreprise. Il a rencontré son associé, Jonathan Martelli, chez Lampiris, une entreprise belge axée sur la production d’électricité durable et locale.
Avant cela, Julien Tchernia a construit sa carrière sur les caprices et les convictions du moment. Après avoir terminé ses prérequis, il quitte Aix-en-Provence pour Brest, où il intègre la formation d’ingénieur de Télécom Bretagne, dont le slogan est “les pieds dans l’eau, la tête dans les étoiles”.
Après cela, il se spécialise dans la radio mobile en Pologne, travaille au service financier de l’ambassade de France à Rome et prend son premier emploi chez Schlumberger à Mâcon, où il apprécie l’aviron et les vins locaux. Peu de temps après, ce cuisinier qualifié est embauché au bureau bruxellois du cabinet de conseil Altran.
Je l’ai fait, un petit ingénieur marié. Je suis parti six ans plus tard, divorcé et marié à quelqu’un d’autre, raconte-t-il, soulignant que c’est cette expérience qui lui a donné le goût des affaires et de la gestion. Barbara Sessa, sa compagne italienne et mère de leurs filles, raconte : “Je l’ai connu quand il était salarié, mais il avait déjà cette énergie créative et ce besoin d’innover.”
Cependant, être entrepreneur n’était pas quelque chose qui s’imposait automatiquement dans la vie du plus jeune frère d’une famille de quatre personnes. Après avoir quitté la Belgique, le polyglotte (qui parle anglais, italien, polonais et allemand) a poursuivi sa carrière chez Altran à Rome, puis chez Alten à Milan, où sa “vie de chevreau en or” a été disséquée avec sa conscience écologique. Il vend également son cabriolet pour payer son master à l’école Sophia Antipolis des Mines ParisTech.
La crise financière de 2008 entravera ses tentatives d’obtenir un financement après sa sortie de prison. Le patient méditerranéen attend dans le salaire chez Telespazio puis Lampiris. Maintenant qu’il est PDG de l’entreprise, il aime se débrancher en allant skier l’hiver et faire de la plongée sous-marine l’été, mais son “sport préféré” est toujours de diriger une entreprise.
L’industrie de la télévision et un nombre incalculable de fans pleurent la mort de Pierre Tchernia samedi soir à l’âge de 88 ans. Surnommé “Monsieur le cinéma” à la télévision française, il fut l’un des derniers géants du petit écran.
Au cours d’une carrière remarquable de 60 ans, il a partagé sa connaissance encyclopédique du cinéma avec les téléspectateurs du monde entier, incarnant l’aspiration au service du bien public qui est au cœur d’une culture exigeante et largement admirée.
Icône de la télévision et du cinéma français, Pierre Tchernia était affectueusement surnommé “Pierre Magic Tchernia” par son collègue Arthur lors de leur passage à l’émission Les Enfants de la télé (1994-2006) sur TF1. Cet homme de 85 ans vit seul et délaissé dans une maison de retraite médicalisée parisienne. Ici Paris, le magazine français, a retrouvé Pierre Tchernia.
Les photographies officielles prises au cours des dernières années montrent que Pierre Tchernia est un homme âgé qui se déplace lentement et a besoin de l’aide de béquilles. Avec un sourire perpétuel sur le visage, il a assisté à des cérémonies de récompenses comme les Césars en 2008 aux côtés de stars comme Julie Depardieu et Alain Delon. Pierre Tchernia est aujourd’hui largement oublié.
En raison d’une blessure aux ischio-jambiers, il est confiné dans un fauteuil roulant. Ce n’est que dans la chambre de sa maison de retraite qu’il réfléchit probablement à ses jours en tant que “Monsieur Cinéma” ou coprésentateur de “Cinq colonnes à la une” ou de l’un des autres titres qu’il a occupés dans la petite lucarne. La triste traduction ajoute: “Un seul de ses enfants lui rend encore visite et l’emmène occasionnellement en vacances.”
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